Il existe bien des manières de méconnaître la Vendée…la résumer à l’une ou l’autre de ses plages infinies, la réduire au filigrane d’une insurrection royaliste et religieuse, ou à l’appellation de « ventres à choux » alors que le haricot blanc fut « le patrimoine du pauvre »
Pour la connaître il faut s’y rendre et s’engager corps et âme dans cette « terre de géants et de genêts », ne pas hésiter à s’aventurer sur les petits « routins » ou lire au travers de la « breue » flottante sur les marais, ou traverser les gués...comprendre la plaine, le marais et le boccage.
Les vendéens ont ceci de particulier : ils ne conçoivent pas le tourisme comme une manne, ils n’ont simplement qu’une soif irrépressible de partager ce qui fut leur histoire, leurs traditions, leur culture.
Ils ont cette générosité qui fut celle des « vieux cherche-pain » qui contaient leur pays.
Et puis il y a, qu’après avoir porté toute la misère sur leurs épaules, leur âme en est devenue apaisée et apaisante.
Voila ma païs.
mardi 28 juillet 2009
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