Les cris de désespoir sont comme les arbres squelettiques plantés dans le désert du Ténéré,
ces mains décharnées implorant le ciel,
ces bourgeons figés d'une vie enfouie sous une peau parcheminée mais qui doivent conserver le souvenir des amours en se momifiant.
vendredi 31 juillet 2009
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