Qui osera un jour me reprocher d'avoir vécu mes amours mortes,
les images des mondes ou la vie s'appelait amour,
les étoiles bougies des minutes de bonheur,
soleils éclatants dans la tête dans nos étreintes,
le corps exultant dans un monde en création,
l'infini du désir de donner,
le plaisir insoutenable d'atteindre le parfait,
l'explosion des mondes trop petits pour nous servir de couche,
nager au milieu des galaxies bulles de champagne,
dormir sur la marge de l'univers,
juste un peu plus loin que la pensée imagine,
dormir dans la main des dieux,
et mourir de plaisir.
lundi 10 août 2009
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