La légende de Moko
Selon la mythologie Maori, le tatouage a commencé par une histoire d'amour entre un jeune homme qui s'appelait Mataora (ce qui signifie "visage de la vitalité") et une jeune princesse du monde des ténèbres du nom de Niwareka.
Un jour Mataora frappa Niwareka. Niwareka s'enfuit alors pour rejoindre le royaume de son père, un royaume nommé Uetonga. Mataora, le coeur brisé et plein de remords, partit à la recherche de Niwareka.
Après bien des épreuves, il finit par arriver au royaume de Uetonga. Mais, après un voyage aussi éprouvant, la peinture de son visage avait perdu de son éclat.
La famille de Niwareka se moqua de la piteuse apparence de Mataora. Humblement, Mataora implora le pardon de Niwareka, et elle finit par le lui accorder.
Le père de Niwareka offrit alors à Mataora de lui enseigner l'art du tatouage.
Mataora et Niwareka ont ensuite regagné le monde des humains à bord d'une pirogue double, escorté par de valeureux guerriers. Mataora enseigna à son tour l'art du tatouage. C'est ainsi que cette pratique divine devint un art populaire.
Selon la mythologie Maori, le tatouage a commencé par une histoire d'amour entre un jeune homme qui s'appelait Mataora (ce qui signifie "visage de la vitalité") et une jeune princesse du monde des ténèbres du nom de Niwareka.
Un jour Mataora frappa Niwareka. Niwareka s'enfuit alors pour rejoindre le royaume de son père, un royaume nommé Uetonga. Mataora, le coeur brisé et plein de remords, partit à la recherche de Niwareka.
Après bien des épreuves, il finit par arriver au royaume de Uetonga. Mais, après un voyage aussi éprouvant, la peinture de son visage avait perdu de son éclat.
La famille de Niwareka se moqua de la piteuse apparence de Mataora. Humblement, Mataora implora le pardon de Niwareka, et elle finit par le lui accorder.
Le père de Niwareka offrit alors à Mataora de lui enseigner l'art du tatouage.
Mataora et Niwareka ont ensuite regagné le monde des humains à bord d'une pirogue double, escorté par de valeureux guerriers. Mataora enseigna à son tour l'art du tatouage. C'est ainsi que cette pratique divine devint un art populaire.
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