...lui, la tête en feu, les yeux pleins d'un autre monde,
s'arrêtait alors comme pris de convulsions et son sang
prêt à bondir hors de ses artères se cognait aux parois
des vaisseaux.
Dans ces moments là, comme ivre de pureté, l'esprit du terrible guerrier qu'il était, aspirait à une grâce cosmique qui lui serait accordée un bref instant, afin que son humanité enfouie sous les miasmes de l'anéantissement, surgisse enfin dans un éblouissement salvateur... (Osmose)
samedi 27 juin 2009
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